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Les podcasts de l'ISP

Podcast Les podcasts de l'ISP
Prépa ISP
ISP - Prépa d'excellence aux concours juridiques et administratifs : ENM ; CRFPA ; police ; DGSE ; douanes ; DSGJ ; greffiers ; pénitentiaire ; pjj ; Commissair...

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  • 10 questions sur la Banque centrale européenne
    Une banque centrale est une institution financière, le plus souvent publique, en charge d’un ensemble de missions dont les plus courantes sont l’émission de la monnaie, la conduite de la politique monétaire et la supervision des paiements. Il existe une banque centrale en France, c’est la Banque de France. En Allemagne, il y a la Bundesbank et tous les pays européens ont une banque centrale. Par conséquent, pourquoi, en plus, une Banque Centrale Européenne ? Pourquoi avoir créé cette BCE en 1998 ? quelles sont ses missions de cette institution située à Francfort et présidée actuellement par Madame Christine Lagarde ? Ce podcast est également l’occasion aussi de comprendre comment fonctionne la politique monétaire et de savoir comment on peut la rejoindre. Pour répondre à toutes ces questions, Frédéric Visnovsky, vous êtes à la Banque de France, à la fois Secrétaire général adjoint de l’ACPR (qui est l’autorité au sein de la Banque de France qui contrôle les banques et les assurances) et, en même temps, vous être Médiateur national du crédit. Vous avez fait toute votre carrière au sein de la Banque de France, vous avez donc connu la création de la Banque Centrale Européenne et merci de venir nous éclairer sur le rôle de cette institution européenne.
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    24:43
  • L'OFAST et la lutte contre le narcotrafic
    Depuis plusieurs années, la France fait face à une intensification notable du narco-trafic sur son territoire. Ce phénomène, longtemps concentré dans certains quartiers, s’étend désormais à l’ensemble du territoire national, avec des impacts croissants en matière de sécurité, d’économie souterraine et de cohésion sociale. Face à cette réalité, les pouvoirs publics ont multiplié les initiatives. Depuis 2017, le gouvernement a renforcé sa stratégie de lutte contre les trafics de drogue à travers plusieurs dispositifs : - La création, en 2020, de l’OFAST, l’Office Anti-Stupéfiants, chargé de coordonner l’action des différents services engagés sur le terrain. - Le plan national de lutte contre les stupéfiants, annoncé en septembre 2023, qui s’articule autour de trois axes : asphyxier les trafics, renforcer la coopération internationale, et mener une politique de prévention à l’échelle nationale. - Les opérations "Place nette", lancées dans de nombreuses villes, qui visent à démanteler les points de deal de manière coordonnée et ponctuelle, avec des résultats visibles mais aussi des limites en termes de pérennité. Plus récemment, une proposition de loi a été déposée début mars 2025, avec plusieurs mesures fortes : - la création d’un parquet national dédié à la criminalité organisée et d’un état-major opérationnel pour coordonner les services. - renforcement des techniques d’enquête et de renseignement, en autorisant notamment l’accès encadré aux messageries cryptées, les interceptions satellitaires et la mise en place d’un statut des informateurs. - Enfin, elle engage une offensive économique contre les trafiquants, en facilitant la confiscation de leurs biens, en élargissant la lutte contre le blanchiment et en permettant la fermeture administrative de commerces utilisés comme façades. Ce texte s’inscrit dans une volonté politique clairement affichée : faire de la lutte contre le trafic de stupéfiants une priorité nationale. Mais concrètement, comment se mène cette lutte sur le terrain ? Quels sont les résultats ? Et surtout, quelles sont les difficultés auxquelles les forces de l’ordre et les magistrats sont confrontés ? Pour répondre à ces questions, j’ai le plaisir de recevoir aujourd’hui Christian de ROCQUIGNY, contrôleur général et adjoint au chef de l’OFAST pour échanger sur l’état du narcotrafic en France et les leviers d’action concrets mis en œuvre au quotidien.
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    38:25
  • Le procureur de la République
    Acteur clé de la justice pénale, le Parquet est, en France, l’héritier d’une longue tradition historique qui a connu au cours de la période contemporaine une évolution considérable. L’identité même des magistrats du Parquet s’est transformée à mesure des nouveaux enjeux de la politique pénale. Leur rôle essentiel de titulaires de l’action publique se place désormais dans une position stratégique pour la définition, l’organisation et la mise en œuvre d’un ensemble élargi des filières pénales. Les fonctions de représentation de l’institution judiciaire dans les instances des politiques publiques de sécurité se sont multipliées au cours des deux dernières décennies pour le Parquet, qui s’est pleinement investi dans ce rôle récent d’acteur territorial. Parallèlement, ses fonctions de directeur d’enquête n’ont cessé de croître et les cadres d’enquête se sont développés. Ces évolutions l’ont cependant installé dans une position ambigüe, avec parfois des périodes tourmentées et des écueils d’ordre statutaire, budgétaire, technique ou politique. Pour y faire face et les surmonter, les valeurs personnelles, morales et déontologiques des magistrats du Parquet peuvent-elles suffire ou faut-il envisager sa réforme en profondeur ? Telles sont les questions actuelles que l’ensemble des magistrats, des auditeurs de justice ou des étudiants peuvent se poser à la lumière de l’importante évolution de ce corps, de son fonctionnement, de ses missions et de ses vertus. Pour y répondre nous avons le plaisir de recevoir une nouvelle fois dans les podcasts de l’ISP, Francis Nachbar, procureur général honoraire.
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    1:03:41
  • La fast fashion
    Dans le présent podcast, nous aborderons ensemble un thème qui est tombé en sujet de GO à l’ENM en 2024. Un sujet, qui nous concerne quasiment tous : la fast fashion. Zara, H&M, Shein, Primark… Ces enseignes ont complètement transformé notre rapport aux vêtements. Toujours plus de pièces, à des prix toujours plus bas, des gardes robes sans cesse renouvelées, la frénésie ne s’estompe pas et semble même s’accélérer avec les années. Chaque année, c’est 56 millions de tonnes de vêtements qui sont vendus à travers le monde. En Europe, depuis l’an 2000, la quantité de vêtements achetés a doublé. L’industrie textile représente aujourd’hui 3 000 milliards de dollars et devrait encore croître de 60 % d’ici 2030. Plusieurs procès ont été engagés contre cette industrie aux pratiques assez opaques et ce sur plusieurs thématiques : exploitation de la main-d’œuvre dans des conditions indignes, pollution massive, destruction de ressources naturelles, gaspillage textile… Dans ce podcast, nous allons décortiquer ensemble les mécanismes de la fast fashion : son modèle économique, son impact social et écologique, mais aussi les stratégies marketing qui nous poussent à toujours acheter plus. Nous verrons aussi quelles sont les possibilités d’atténuer ses effets négatifs que ce soit par les actions directes du consommateur ou avec l’aide des pouvoirs publics. Pour nous en parler aujourd’hui nous recevons Valentine Haberman, directrice adjointe de la Prépa ISP, responsable des formations police au sein de la Prépa ISP.
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    43:35
  • Le consentement dans la définition du viol et des autres agressions sexuelles
    Près de dix ans après la naissance du mouvement #Metoo et comme l’a encore illustré l’affaire dite « des viols de Mazan », la question de la définition du viol et des autres agressions sexuelles est toujours au cœur de l’actualité juridique et jurisprudentielle. Cette définition, issue de la loi du 23 décembre 1980, est souvent présentée comme obsolète et facteur d’inefficacité répressive. Certains estiment même qu’elle constituerait une manifestation de la « culture du viol » dès lors qu’en n’intégrant pas, dans la caractérisation de ce crime, la prise en compte du consentement de la victime, elle aboutirait à une forme de tolérance de ce type de comportement. On retrouve cet argument dans un récent rapport d’information, fait au nom de la délégation aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes de l’Assemblée nationale, en date du 21 janvier 2025. Ces interrogations tant sociétales que médiatiques, et politiques sont à l’origine de débats intenses, parfois houleux. Nombre de ces débats envisagent la question du consentement dans le viol de manière passionnée, et on le comprend parfaitement, mais cela au détriment d’une analyse juridique et judiciaire. Ce podcast est donc l’occasion de revenir la place du consentement dans la définition des infractions de viols et d’agressions sexuelles. De quelle manière ces qualifications permettent-elles de prendre en compte les « situations-limites » concernant les victimes inertes, notamment en état de sidération ? Quelles évolutions des textes sont-elles envisageables et envisagées ? Pour y répondre, nous recevons aujourd’hui Olivier BACHELET, magistrat de l’ordre judiciaire, président de chambre correctionnelle et enseignant en droit pénal et en procédure pénale au sein de la Prépa ISP.
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    1:03:05

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Generated: 4/2/2025 - 11:58:35 AM